Agora de l'Assemblée Neutre des Grands Explorateurs

Poème où blaspheme.

Mots du Cœur, mots de peur.
Mots de l’âme, mots infâme.

Ecrit de paix ou cris de guerre.
Ecrit d’amour en cette terre.

Parfois on comprend son sens.
Parfois on ignore l’arrogance.

Ecrit d’amitié ou mépris.
Ecrit meurtrit ou incompris.
Ecrit sournois ou courtois.
Ecrit selon toi.

Le poète est parfois triste.
Son écrit le ressuscite.
Le poète est amoureux.
Son écrite est un aveu.

Pourtant certains s’en mêle.
C’est mots se contre mêle.
Hélas le pêlemêle.
Ne ressent même pas l’appelle.

Certains ne ressemblent à rien.
Les mots y sont pour rien.
Pourtant il est persuadé du contraire.
Le pauvre vis la galère.

Heureusement certain écrivains.
On le pouvoir dans la main.
Ils prennent leur plume.
En écrivant a la lune.

AngeShiva.

Soutiens.

Quelle est donc cette chanson.
Qui fais plus de bruit que celui du son.
Celle-ci est d’une infeste intonation.
A quoi bon prêter attention.

Mots et bribes de murmures.
Pour des paroles impures.
Pourtant tu ouvres la blessure.
De ces âmes si pures.

N’a tu point de honte.
De chantonner à mi-ondes.
Le malheur d’un peuple bon.
Qui est perdu dans la douleur d’un démon.

Tu chantes, tu chantes a quoi bon.
Les Kultars ce relèverons.
Ceux-ci sont forts et fières en son nom.
Cette chanson et se son ne les atteindrons.

Vous amis Kultars rester comme vous êtes.
Ne prêtez pas attention à cet être.
Qui en ce landes en est un traitres.
Car celui-ci un jour verra naitre.
La sagesse que vous pouvez acquérir.
Alors que lui se verra vieillir.
Tel un rat amusette.
Qui finira aux oubliettes.

AngeShiva.

L’amitié est fragile.
Telle un fils qui sa casse.
Tel le fer qui se rouille.
Tel un chemin sans lendemain.
Telle une fleure qu’on cueille et qui se meurt.
Telle la laideur qui nous fait peur.
Tel un bouclier qui se dégrade.
Telle une pioche qui se casse dans les minerais.

Pourtant il peu être fort.
Telle deux amis unis dans l’effort.
Telle ta main tendue que je suis perdue.
Telle ton arrogance quand je m’égare.
Telle ta présence quand je souffre en silence.
Telle ton épaule qui me permet de pleurer.
Telles tes paroles qui toujours me consolent.

Jamais tu ne me juge.
Jamais tu ne me parjures.
Mais l’amitié est fragile et j’en ai brisé le fils.
Car même avec tous nos effort, tous deux avons des tors.

Amitié fragile.
Alors que sur ces terres peu hostile.
J’essaye de me rendre utile.
Toujours en quête d’aider le jeunot.
Cette vois je n’en trouve pas mes mots.
Blessée dans mon amour profond.
Je ne peu en garder le ton.
Ce soir je pleurs.
Ce soir mon cœur se meurt.
Je suis triste et a tendance à être sinistre.
Pourtant de bon cœur, hélas cette fois j’ai peur.
Peur de ne pas être celle que moi-même je demeure.
J’ai blessé un ami, sans le vouloir.
Cette fois je perds espoir……

En voilà des questions que bien je me pose.
Tout ceci définirait quelque chose.
Il suffit d’une bagatelle.
Et nous voici en querelle.
Un grand sage ma dis un jour.
Que parfois pour trouvé l’amour.
Il ne suffit pas d’un battement de cœur.
Qui risque de nous mener a l’erreur.
Mais que bien souvent.
Se trouve dans un volcan.
Que telle une grande éruption.
Fait naître une union.
Pourtant malgré ton caractère indéfini.
L’amour entre nous n’est pas admis.
Tu serras toujours mon ami.
Car entre nous l’ange a souris.
Une belle amitié bien définit.
Est plus beau qu’un amour mal acquis.

Dans c’est Landes impure.
Est né un amour pur.
Dans ce monde sans pitié.
Voilà une belle complicité.
Un amour grand et fort.
Pour deux être que j’adore.
Vous avez dis oui….
Oui, a l’amour.
Oui, a la vie.
Oui, a la vérité.
Oui, a la fidélité.
Oui, a votre union.
Je ne peux que vous souhaité.
Tous se don vous rêvez.
Vivez heureux.
Vivez amoureux.
Ce soir je perds une sœur, mais je sais au fond de moi, qu’il en prendra soin.
Cette sœur mets chère a mon cœur, je te la confie, elle ne sera pas loin.
N’oubliez pas quand dans le ciel.
Il y a toujours un ange qui veille.